Pour mettre un certain ordre dans l’ensemble des faits que nous devons passer en revue, j’examinerai
Le contraste entre ce costume et celui du premier acte prépare la scène entre Phèdre et Hippolyte, et le jeu comme la diction de l’actrice en reçoivent une animation immédiate.
Cela tient à ce que les tableaux sont presque toujours séparés les uns des autres par des entr’actes, absolument comme s’ils étaient des actes.
Il y a dans toute oeuvre dramatique un ou plusieurs moments psychologiques où doit se produire cette commotion, qu’il ne faut pas confondre avec celle qui est due au pathétique des situations. Il consiste uniquement dans une tunique de laine blanche.
On se trompe souvent, soit que l’acteur ne donne pas tout ce qu’il promettait, soit que la scène modifie complètement son image théâtrale.
Deux genres faisaient alors un emploi constant de la musique, c’était le mélodrame et le vaudeville. Du costume de Phèdre. C’est donc une loi absolue de la mise en scène qu’aucun objet réel, prédestiné par sa nature ou par sa place à attirer l’attention du spectateur, ne peut être mis sous nos yeux à moins qu’il n’ait un rapport certain avec la marche du drame.